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Les treize malédictions qui portent la poisse aux DSI
On connaît tous les superstitions. Même si l’on sait, en bon ingénieur que nous sommes, qu’elles ne reposent sur absolument rien de scientifique, on ne peut s’empêcher d’y prêter attention. On ne sait jamais. Dans notre univers aussi, il y a des superstitions qui ont la vie dure. Il y en a au moins treize, qui, évidemment, annoncent le malheur dans nos DSI.
SAV de la DSI : sensibiliser à la sécurité
Malgré la multiplication des investissements en solutions de sécurité, la vulnérabilité des entreprises n’a jamais été aussi forte. L’un des points clés, pour diminuer l’exposition aux risques, reste d’agir sur le facteur humain et de sensibiliser tous les utilisateurs aux respects de bonnes pratiques, souvent de bons sens.
Plombier des données
Plombier des données : le métier n’existe pas, du moins sous cette appellation, mais il est bien utile pour colmater les fuites de données. Le dernier exemple, révélé par l’hebdomadaire Le Canard Enchaîné, a été fourni par le Clusif, dont le fichier des adhérents s’est retrouvé disponible sur le Web, suite à une erreur humaine.
Aux DAF, etc…
Les DAF ne vont pas chômer en 2019. Pas seulement pour leurs propres activités, mais également pour travailler avec les DSI. Car, nous apprend la nouvelle édition de l’étude annuelle de la DFCG (association des directeurs financiers et de contrôle de gestion) et du cabinet PWC sur les priorités 2019 des DAF, six sur dix ont fait part de leur volonté de digitaliser la production des données et la mise à disposition des analyses.
SAV de la DSI - L’innovation numérique
Tout le monde le sait : les DSI sont au cœur de l’innovation. Les fournisseurs ne cessent de le répéter, les directions générales se montrent de plus en pressantes, les métiers deviennent impatients de voir se concrétiser sur le terrain de nouvelles offres de produits et services issus de business modèles de rupture.
Des pressions
L’année 2019 va probablement se traduire par une accentuation des pressions sur les DSI. C’est une prédiction qui, hélas, a une forte probabilité de se réaliser. Nous en évoquons deux dans ce numéro : d’une part, la cybersécurité, domaine où rien se semble vraiment s’arranger, la proportion d’entreprises victimes, qu’il s’agisse de PME ou de grandes entreprises, ne diminue pas, bien au contraire.
Sans blague…
Pour bien commencer l’année, je vous suggère une bonne résolution : lors de chaque comité de direction de la DSI, prévoyez, dans l’ordre du jour, histoire de détendre l’atmosphère, de commencer par la blague du mois. J’ai testé cette bonne résolution l’année dernière et, depuis, je vous assure que chacun de nos comités de direction se déroule dans une ambiance beaucoup plus sereine.
Un fauteuil pour deux
Le film « Un fauteuil pour deux » a été récemment rediffusé à la télévision. Pour rappel, c’est l’histoire d’un pari à un dollar entre deux patrons très riches, dont l'un soutient que l’on peut propulser un simple SDF directeur général d’un groupe financier et qu’il fera mieux que le dirigeant en place, qui sera volontairement discrédité.
Vive l’escape game
On voit de plus en plus fleurir des lieux dans lesquels sont proposés des jeux d’évasion (escape games pour les bilingues…). Rappelons le principe : des joueurs, regroupés par équipes, sont enfermés dans une pièce et doivent trouver les réponses à des énigmes, utiliser un certain nombre d’accessoires, déjouer les pièges qui leur sont tendus, bref, faire appel à leur imagination, à leur intelligence, à leur créativité et à leur habilité pour sortir au plus vite. Le tout en agissant de façon collaborative.
Où est le sponsor ?
Lorsque l’on parcourt les innombrables études et analyses que l’on reçoit sur tous les sujets imaginables liés au management de systèmes d’information, on retrouve systématiquement, pour expliquer difficultés, retards et autres dysfonctionnements, le « manque de sponsoring de la direction générale ».
En même temps…
Vous l’aurez constaté, la popularité du président de la République accuse une forte chute ces derniers temps. Mais il n’empêche, grâce à des mots, des expressions et des phrases chocs, il a pu marquer les esprits depuis le début de son quinquennat. A tel point que tout le monde s’en souvient, même ses détracteurs.