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Votez Séhiaud !
En période électorale, il est utile de connaître les principes d’une bonne campagne qui permet de gagner une élection. Nous aussi, DSI, devons être plébiscités dans nos organisations. J’avais déjà abordé ce thème dans Best Practices, il y a cinq ans et il m’a semblé judicieux de rappeler ce que j’avais écrit à l’époque et qui est toujours d’actualité.
Le dégagisme, c’est aussi pour les DSI !
Il n’y a pas si longtemps, le slogan « Place aux jeunes ! » aurait pu nous laisser indifférents, voire nous faire sourire, tant nous étions certains de ne pas être concernés. Après tout, n’avons-nous pas une solide expérience des technologies de l’information, pour en avoir intégré les différentes vagues qui ont déferlé sur nos organisations depuis les années 1980 ?
Évolution darwinienne de l'économie du numérique
Les deux jours de l’Université du numérique, organisée les 15 et 16 mars 2017 par le Medef autour du thème « la data dans tous ses états », ont été marqués par un état d’esprit très darwinien. « Dans le monde actuel, ce ne sont plus les gros qui mangent les petits, mais les rapides qui mangent les lents », a rappelé Christian Nibourel, président d’Accenture France & Benelux.
Le mensonge ou l’engagement : quand les éditeurs pratiquent la communication par le vide
La communication des éditeurs de logiciels autour de leurs solutions est de plus en plus aseptisée et uniforme. C’est souvent le résultat d’une standardisation au niveau mondial, avec l’objectif de plaire à tout le monde, avec les mêmes concepts (transformation digitale, vision, solutions, performance…).
Digital champion, un truc de dingue
Lors du dernier comité de direction, le sujet du Big Data a été abordé. Ce n’était initialement pas prévu dans l’ordre du jour. Mais il a suffi que notre vénéré PDG, Pierre-Henri Sapert-Bocoup, lise le matin même un article sur ce sujet dans son magazine favori (Challenges pour trouver des Échos dans La Tribune, un bimensuel pour DG éclairés à la bougie).
Le retour des pain in the ass, rompipalle, cockblocks et autres rompe bollas (*)
J’ai lu sur l’un des nombreux sites Web qui nous inondent d’actualités, souvent sans grand intérêt, l’interview d’un responsable de la protection des données personnelles qui nous explique que « de nombreuses entreprises vont avoir l’obligation de se doter d’un DPO. » En clair, un Data Privacy Officer ou, en encore plus clair, un délégué à la protection des données personnelles.
De l’ubérisation à la schumpétérisation
«Se transformer ou mourir » : le titre du dernier ouvrage de Jean-Louis Beffa, consacré aux relations entre les grands groupes et les start-up, résume bien la situation dans laquelle se trouvent la plupart des entreprises. Le mot « ubérisation » a été beaucoup galvaudé pour décrire la mutation des business modèles.
Un DSI, ça trumpe énormément !
L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis n’avait été, finalement, guère une surprise. Pourquoi était-ce si prévisible ? Tout simplement parce qu’il a, pour se faire élire et durant son début de mandat, utilisé toutes les recettes de communication que nous, DSI, avons depuis longtemps intégré pour rester en place.
Objet : connectés
On ne peut qu’être admiratif face à l’imagination de nombreux créateurs de start-up. Non pas tant pour leur business modèle, car beaucoup se sont engouffrés dans la brèche des objets connectés, pour faire comme tout le monde. Mais pour leur manière de créer des objets qui ne servent à rien ou à très peu de personnes.
Chief Quelque chose Officer
On se souvient de la célèbre phrase attribuée à Georges Clémenceau : « Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission. » On retrouve ce réflexe dans les entreprises, qui pourrait se formuler de la façon suivante : « Si vous voulez marginaliser un manager, créez une fonction similaire, avec une autre dénomination. »