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Les DSI et le digital : c’est pas gagné…
Une partie des dépenses IT échappe à la DSI. La tendance est, semble-t-il, irréversible. En particulier pour les budgets marketing… En 2000, environ 20 % des dépenses IT étaient réalisées en dehors des DSI, proportion qui serait passée à 90 % à la fin de la décennie. C’est du moins ce qu’affirme Gartner. Même si les chiffres peuvent paraître discutables, ils reflètent néanmoins une tendance réelle.
Investissements incorporels : une mesure difficile
L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) vient de publier une étude sur les investissements incorporels des entreprises françaises (*). Selon les économistes, les investissements incorporels auraient représenté entre 130 et 164 milliards d’euros en 2004, soit entre 7,9 % et 9,9 % du PIB. Qu’entend-on par investissements incorporels ?
Du CIO au CDO (Chief Digital Officer)
Si dans les années 2000, les dépenses en technologies de l’information réalisées en dehors de la DSI représentaient 20 % des dépenses totales, cette proportion passera à 90 % d’ici à 2020, nous prédit Gartner. Cette évolution rapide est évidemment liée au développement rapide de l’entreprise numérique. Le même cabinet nous avait déjà alertés sur cette tendance pour les directions marketing, dont les budgets pour l’acquisition de technologies deviendront supérieurs à ceux des DSI à l’horizon 2017.
Comment le Web 2.0 transforme les organisations
Une étude publiée (*) sous l’égide de la Fondation Cigref examine comment le Web 2.0 modifie les organisations, qui deviennent des « entreprises 2.0 ». Pour cela, les auteurs ont étudié le Web 2.0 sous quatre grands aspects : en tant que plate-forme, comme réseau de communication étendu, comme support communautaire et, enfin, comme un modèle favorisant l’émergence d’idées. Et se sont ensuite penchés sur sept cas d’entreprises ayant mis en œuvre des projets 2.0, pour en analyser les implications sur l’organisation.
Maturité ?
Ainsi, les dirigeants d’entreprise seraient devenus plus matures vis-à-vis des technologies de l’information. L’analyse faite par Syntec Numérique et IDC (« Baromètre de la maturité numérique des dirigeants ») nous apprend qu’ils ont « massivement adopté » les outils numériques (PC portables, smartphones, tablettes). On pourrait penser que c’est une bonne nouvelle.
40 ans du Cigref : cap sur l'entreprise numérique
A l’occasion de ses 40 ans, le CIGREF met le cap sur « l’entreprise numérique ». 2010 est en effet l’année du quarantième anniversaire de la création du CIGREF, dont l’histoire se confond avec l’histoire de l’informatisation des grandes entreprises. Du « pari informatique », ouvrage de Pierre Lhermitte (Président Fondateur du CIGREF) paru en 1968, en passant par les enjeux des « systèmes d’information » depuis le début des années 1990, les années 2010-2015 devraient voir l’émergence d’un nouveau paradigme, celui de « l’entreprise numérique ».
Neutralité
Le thème de la neutralité d’Internet resurgit régulièrement. La consultation engagée par la secrétaire d’État chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numérique du gouvernement précédent a permis d’identifier les positions des uns et des autres sur ce sujet qui, au-delà des apparences, présente non seulement un enjeu fondamental pour toute l’économie basée sur Internet, mais aussi un risque pour les DSI. De quoi s’agit-il ?
Syntec Informatique devient numérique
Syntec Informatique a changé de nom et se rebaptise Syntec Numérique. Le syndicat professionnel des SSII et des éditeurs de logiciels confirme ses prévisions de croissance de +1% pour l’activité logiciels, conseil & services informatiques en 2010 en France et annonce une prévision de 3% pour 2011. « Les investissements des entreprises dans le Numérique repartent en croissance », estime Eric Tirlemont Co-Président de la Commission Marchés-Tendances de Syntec Numérique.
Les meilleures pratiques des entreprises performantes
Une enquête PricewaterhouseCoopers a identifié deux types d’entreprises : les entreprises «performantes» et les «suiveuses». Les entreprises performantes donnent la priorité à la croissance organique dans leur stratégie alors que les entreprises suiveuses s’attachent à lancer de nouveaux produits et cherchent de nouveaux marchés, de façon souvent désordonnée.