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Décisionnel : démocratisation et alignement
Le marché français du décisionnel (licences, maintenance et SaaS) est évalué à 737 millions d’euros par IDC France. Il dépasse les deux milliards d’euros si l’on ajoute la formation. Avec, on s’en doute, une dominante grands comptes : « le marché concerne à 80% des entreprises de plus de 2 000 salariés », note Cyril Meunier, consulting manager chez IDC France, qui est intervenu sur ce thème lors de la dernière conférence IDC. Le marché du décisionnel évolue toujours à contre-courant des autres segments logiciels.
Décisionnel et pilotage financier
Dans les entreprises, l’engouement pour la Business Intelligence constitue clairement un levier pour sortir de la crise « par le haut ». Notamment lorsque la BI est de plus en plus intégrée à une stratégie de pilotage financier. On peut distinguer trois domaines dans lesquels les besoins de décisionnel doivent être satisfaits.
Décisionnel : des volumes de données toujours en hausse
Decideo, la communauté des utilisateurs de systèmes décisionnels, a publié la nouvelle édition de son baromètre. Cette étude a été réalisée par Internet, en octobre et novembre 2009, auprès de 273 personnes, réparties pour environ 70 % en provenance d’entreprises utilisatrices et pour 30 % de consultants, éditeurs et intégrateurs.
Décisionnel : quelles métriques pour les métiers ?
Lors du forum du CXP 2009 et les dernières projections d’IDC le montrent : le décisionnel constitue l’un des domaines relativement épargnés par la crise. Les entreprises continuent à investir, les projets sont toujours nombreux et sont davantage axés vers un retour sur investissement rapide et une extension de la couverture fonctionnelle. Trois tendances marquent les stratégies de DSI : la rationalisation de l’existant, la démocratisation des outils et des fonctionnalités et un rapprochement plus étroit avec les métiers.
Décisionnel : un marché dynamique... mais atypique
Encore un effort… Les outils de Business Intelligence sont certes très répandus dans les entreprises mais, en définitive, relativement peu utilisés. Ou en tous cas pas assez. Un paradoxe mis en exergue par Alain Pétrissans, directeur des études et du conseil d’IDC France, lors de la conférence Décisionnel 2008, qui s’est tenue le 19 juin 2008.