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Sauvons la SPA (Société protectrice des applications)
Chaque année, nous avons droit aux reportages télé sur l’abandon de nos amies les bêtes (on parle ici des animaux, pas de nos développeurs) à l’occasion des vagues de départs en vacances. C’est bien sûr dramatique pour ces attendrissants partenaires de vie (on parle encore des animaux, pas des contrôleurs de gestion), livrés à eux-mêmes au bord des routes. ça l’est aussi pour ceux qui auront à s’en occuper (on parle toujours des animaux, pas des commerciaux avant-vente des éditeurs).
Libérons les otages de la comm’
La mode est aux otages dans des pays hostiles. Mais il ne faudrait pas oublier que des otages, il y en a partout… Par hasard, en surfant sur le Web, un titre a attiré mon attention : « La gestion des portefeuilles de projets au centre des souhaits des DSI ». Bigre… J’ai voulu en savoir plus en cliquant sur le reste de l’article. Je n’aurais pas dû…
Big Data, j’y vais pas…
Je vous ai expliqué, dans le dernier numéro, pourquoi il me semble important de résister à toutes les demandes, plus ou moins farfelues, que les directions métier nous adressent. À croire qu’elles ont toutes retenu la célèbre phrase : « Quand j’entends les mots big data, je sors mon DSI. » De quoi provoquer un accident fatal pour qui ne maîtrise pas les crans de sûreté. Il y a au moins dix arguments à retenir pour ne jamais s’engager dans la voie des big data.
Déstructuré toi-même !
Les grands philosophes Renaud Treuqse et Yves Echo (Vème siècle avant l’invention de l’hadoop rétro-éclairé sur amortisseur de silos) avaient raison lorsqu’ils affirmaient, dans leur ouvrage de référence Viens ici qu’j’t’explique les big data : « Ce n’est pas en stockant des données semi-structurées dans un semi-remorque que l’on réduit de 50 % la place disponible. »
Cauchemar dans la cuisine des projets
Vous connaissez probablement l’émission de télé « Cauchemar en cuisine », adaptation française de l’émission britannique Ramsay’s Kitchen Nightmares. Le principe est simple : un chef cuisinier, tendance caractériel-grande-gueule (rassurez-vous on n’en trouve que dans ce milieu), vient aider des restaurateurs qui ne s’en sortent plus et qui sont proches de la faillite.
Recon-version
À chaque fois que je traîne dans les conférences, les réunions de DSI et autres symposiums, je rencontre un certain nombre de collègues à qui, lorsque je demande comment ils se portent et si, pour eux, l'année 2014 démarre bien, me répondent généralement avec un grand soupir : « Ben non, je viens de me faire virer. » Je n’ai pas tenu mes statistiques, mais on n'est pas loin de l'hécatombe. Et dans le mot « hécatombe », il y a tombe…
C’est pas faux, quoique…
On va y avoir droit, si ce n’est déjà fait. Tous les experts vont se mettre à nous asséner leurs prédictions pour 2014. On les voit venir, les cabinets d’analystes et les fournisseurs qui ont commandé à prix d’or des études… Les prévisions peuvent être classées en deux catégories : les optimistes et les pessimistes.
Les repentis se repentiront
L’article qui figure dans ce numéro sur le Shadow IT tombe à point nommé. Il paraît, nous explique mon collègue Thomas Chejfec (que je ne connais pas, mais qui a fait un bon boulot en étudiant le phénomène), que cette informatique cachée a fait son chemin jusqu’à représenter un pan non négligeable des systèmes d’information.
C’était donc ça…
J’ai enfin trouvé l’explication à une interrogation qui me taraude depuis des années : pourquoi, lorsque l’on explique simplement un problème à nos directions métiers, elles ne comprennent pas vraiment le sujet ? L’explication se trouve dans une étude de l’OCDE (moi aussi, j’ai mes lectures intellectuelles…), publiée en octobre.