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Paradoxe de Solow, de So Low ou de Slow ?
Même les plus ignares d’entre nous ont entendu, un jour, parler du célèbre paradoxe de Solow. Il fait partie, avec la loi de Moore, des concepts les plus connus. De quoi s’agit-il ? Ce paradoxe doit son nom au prix Nobel d’économie 1987, Robert Solow, qui voyait des ordinateurs partout, sauf dans les statistiques de productivité.
Y’a pas de Bêêêê…
La presse nous rapporte qu’une fermière britannique a eu une idée originale : proposer de prêter ses chèvres pour des apparitions dans des visioconférences en ligne sur Zoom, pour la modique somme de 5,6 euros. « Ce service initialement proposé comme une plaisanterie remporte un succès mondial qui a permis à la ferme de gagner plus de 50 000 livres », nous expliquent les médias qui ont relayé l’information.
Webinarholic, une nouvelle addiction
Depuis que la crise sanitaire s’est durablement installée, nous ne recevons plus aucune invitation à des événements physiques. Certains ne s’en plaindront pas, mais c’étaient des occasions de sortir de notre bureau, d’économiser quelques déjeuners et dîners (pour les DSI les plus nécessiteux), de rencontrer des collègues, de discuter avec nos fournisseurs (pas trop longtemps quand même, sinon on finit par leur acheter quelque chose).
Il n’y a plus de DSI au numéro que vous avez demandé
La crise sanitaire a réveillé les armées de commerciaux qui tentent de nous arracher quelques subsides pour rester dignes. C’était déjà le cas avant la pandémie mais, semble-t-il, l’urgence est de remplir les caisses avant la fin du trimestre pour éviter que des charrettes ne poussent nos chers commerciaux vers la sortie, faute d’avoir atteint leurs objectifs…
Populiste et DSI, on peut assumer…
Notre formation et notre métier nous ont appris à être pragmatiques dans nos choix, sérieux dans nos comportements de managers, réfléchis dans les relations avec nos clients internes et notre direction générale. C’est à se demander si nous ne nous sommes pas fourvoyés pendant des années, au vu des événements qui ont marqué la dernière élection américaine, avec le pitre en chef. Pourquoi ne pas suivre son exemple ?
Le grand remplacement par le politiquement correct
L’heure est à la réécriture de l’histoire et au politiquement correct. Et à la « cancel culture », qui consiste à réécrire l’histoire pour éliminer ce qui dérange. Qu’il s’agisse de déboulonner des statues, de ne plus diffuser des films dont les réalisateurs sont accusés de propager des idées racistes ou de débaptiser des livres parce qu’un titre peut, comme on dit dans les médias avant de diffuser des images choc, « heurter la sensibilité du public ».
Folamour des data
La lecture de l’édito de ce numéro de Best Practices me fait craindre le pire. Pourtant, il m’en faut beaucoup, car j’ai déjà affronté toutes les calamités possibles pour un DSI : entre des consultants dont les recommandations nous auraient conduit à la faillite, les éditeurs qui ne pensent qu’à nous rançonner et les DG hystérico-maniaco-dépressifs bipolaires (oui, oui, ça existe dans la classification internationale des maladies mentales et c’est répertorié dans le célèbre « dictionnaire des zinzins et autres fêlés de la caboche »).
Blagues nulles pour l’apéro
Avec la fin du confinement, l’heure de l’apéro non virtuel sonne plus souvent. Pour mettre de l’ambiance (ou pas, c’est selon), pourquoi ne pas en raconter une bien bonne ? Je vous livre quelques blagues nulles (vous voilà prévenus si vous faites un flop devant votre auditoire), issues de ma collection personnelle.
Quand les confinés seront de retour
L’éminent psychanalyste Sigmund Freud avait écrit sur le « retour du refoulé » pour expliquer comment des contenus refoulés, car inavouables, sortent de l’inconscient pour aller se nicher, par exemple, dans les rêves ou s’exprimer via des lapsus. Ça aurait été super que Mister Freud soit toujours de ce monde et vienne en stage d’observation dans notre DSI pour étudier le « retour du confiné » !