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Le patrimoine applicatif est-il un boulet pour le DSI ?
Les experts en psychologie ont popularisé la notion d’injonction paradoxale, principe selon lequel un individu reçoit deux obligations contradictoires. Pour les DSI, on pourrait l’illustrer avec, d’un côté, une exhortation des directions générales à accélérer la transition vers l’entreprise numérique et, de l’autre, le maintien, par ces mêmes directions générales, d’une situation qui limite fortement les possibilités pour les DSI d’atteindre le premier objectif.
Données personnelles : que risque-t-on devant les tribunaux ?
A l’heure où tout le monde reconnaît que le big data, le e-commerce et le Cloud, entre autres, font peser des risques sur les consommateurs, il ne faut pas oublier que ces tendances lourdes font aussi courir des risques aux entreprises qui ne respecteraient pas les principes de base de la protection des données personnelles gérées par leurs systèmes d’information, de plus en plus ouverts sur leur écosystème.
Risque numérique : les fondamentaux
Cet ouvrage est le résultat des travaux de la commission Systèmes d’Information de l’Amrae (Association pour le management des risques et des assurances de l’entreprise) et de l’expérience des consultants de CGI Business Consulting, l’entité conseil de CGI. L’approche est basée sur la qualité du dialogue entre les risks managers et les professionnels des systèmes d’information.
Tierce maintenance applicative : anticiper les questions des DG
par Alain Sacquet (*)
L’informatique reste une préoccupation pour l’ensemble des directions générales car elle est coûteuse et se distingue de l’activité principale de l’entreprise, tout en étant pourtant indispensable. De plus, elle mobilise un personnel atypique d’une technicité étrange et éphémère qui pose de nombreux problèmes de gestion de carrière. Il reste à l’expliquer simplement aux directions générales.L’élaboration des contrats de services chez Sénalia
Dans le cadre de la formation continue Executive Management des Systèmes d’Information de l’EMSI de Grenoble (École de management des systèmes d’information), six étudiants ont travaillé sur la mise en place de contrats de services pour le compte du service informatique et organisation du groupe Sénalia et de sa responsable Catherine Laurent.
Environnements de travail : optimiser et automatiser
En matière de gestion des environnements de travail, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne : le prix des machines va continuer de diminuer, notamment pour les équipements fixes. La mauvaise : le coût global d’administration des postes de travail ne devrait pas fléchir de manière significative. Deux retours d’expérience en matière d’optimisation et d’automatisation : le groupe Krys et le Centre de Fiscalité et de Gestion du Bas-Rhin.
Processus budgétaire : actionner les bons leviers
Le budget est bien plus qu’un dispositif technique pour les entreprises. C’est un élément central. Mais aujourd’hui, le pilotage de la performance financière doit être à la fois plus réactif et prédictif, pour une meilleure efficacité opérationnelle. Plus vite, plus souvent : c’est ce que l’on appelle le fast budget.
Direction générale de l’aviation civile : l’innovation par le pilotage organique
La Direction générale de l’aviation civile a mis en œuvre une démarche innovante de management organique. Objectif : élaborer une vision nouvelle de l’organisation et de ses flux d’informations, d’actions et de décisions. Les explications de Francis Massé, secrétaire général de la DGAC et de Jean-Pierre Desbenoit, directeur des systèmes d’information et de la modernisation de la DGAC.
Une bonne couche de sécurité
À chaque problème de sécurité, une solution logicielle ou matérielle. Le principe paraît simple, mais il ne sert à rien d’empiler les solutions : « La sécurité est envahie de « solutions » que des entreprises s’efforcent de vendre à des clients qui pourraient être tentés de les acheter avant d’avoir identifié les problèmes qu’elles sont censées résoudre », assurent les auteurs de la quatrième édition de cet ouvrage de référence sur la sécurité des systèmes d’information.
Mise en production : les DSI en manque de vision globale
Le cabinet PAC a interrogé une cinquantaine d’entreprises et administrations françaises sur leurs pratiques en matière de mises en production. Verdict : peuvent (beaucoup) mieux faire. Dans un contexte économique difficile, accroître la fiabilité de la mise en production (MEP) des applications représente un gisement d'économies souvent inexploité, souligne l’enquête du cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC).
Une méthode de Prince
« Un projet est une volonté d’améliorer un état connu et perçu comme perfectible, il est porteur d’avenir », rappelle l’auteur dans son avant-propos. Encore faut-il pouvoir le gérer correctement. L’objectif de la méthode Prince2, d’origine anglo-saxonne, est de proposer une approche structurée de gestion de projets basée sur des processus, des thèmes et des principes qui s’appliquent à tous types de projets, qu’ils soient informatiques ou non.