Les huit principes pour renforcer l’autonomie des équipes
Une étude du MIT montre qu’il est plus facile d’apprendre du succès que des échecs, parce que, dans ce dernier cas, les hypothèses de départ n’étaient pas les bonnes. Au contraire, l’exploitation des données dans le cas des réussites est très instructif. Autrement dit, plutôt que « d’échouer vite » comme le conseille beaucoup d’experts en start-up, il est préférable « d’apprendre vite ».
Pour cela, il faut s’appuyer sur trois principes : favoriser l’autonomie d’équipes transversales, tester des hypothèses et se poser les bonnes questions. Les économistes du MIT suggèrent ainsi d’abandonner certains principes, au profit d’autres, plus pertinents, dans une logique de coexistence entre « autonomie et alignement ».
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