Tests logiciels : automatisation et collaboration s’imposent

La dernière édition de la Journée française des tests logiciels, dont Best Practices et Benchmark Digital & Business étaient partenaires, a été l’occasion de dresser le panorama de l’état de l’art dans ce domaine, autour de l’automatisation et de la collaboration.
Dans la mesure où la fréquence des livraisons de versions d’applications s’est considérablement accélérée, les tests doivent être effectués plus souvent et plus vite, sans compromettre la qualité. « Dans une approche de type cycle en V, avec entre deux et quatre versions majeures d’applications par an, une à deux versions de tests par mois sont généralement suffisantes. Dans un mode agile, avec une à trois versions d’applications par trimestre, il faut au moins une à deux versions de test par semaine », conseille Vittorio Capellano, Test Practice Leader chez Acial. Dans un contexte de cycle agile et DevOps, avec plusieurs versions majeures par mois d’applications, les tests doivent être réalisés sur un rythme quasi-quotidien. « L’automatisation des tests est devenue une réponse logique à l’accélération de la fréquence des versions, les pratiques et outils ont accompagné cette évolution », assure Vittorio Capellano, pour qui le choix du modèle d’automatisation doit résulter d’une analyse conjointe de facteurs humains (ressources et compétences), techniques (technologies et outils) et opérationnels (approches et bonnes pratiques).
La suite de cet article, réservée aux abonnés, propose les bonnes pratiques de collaboration, un parallèle entre la diététique et les tests logiciels, ainsi que le retour d’expérience d’Orange Labs.
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Philippe Rosé
Docteur en sciences économiques et auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur le management des systèmes d’information, Philippe Rosé est rédacteur en chef des publications Best Practices.