La sélection d’un nouveau prestataire de services
Intégrer un nouveau prestataire de services (cabinet de conseil, entreprise de services du numérique) comporte toujours une part de risque, surtout s’il « sort de nulle part ». Pour limiter les risques, plusieurs éléments doivent être vérifiés.
Le portefeuille de prestataires de services, qu’il s’agisse d’ESN ou de cabinets de conseil, se renouvelle régulièrement, ce qui est plutôt un avantage pour acquérir de nouvelles compétences. Plusieurs raisons sont à l’origine du renouvellement des prestataires. L’objectif peut être, par exemple, de trouver des compétences dont les prestataires ne disposent pas dans le cadre d’un nouveau projet, de privilégier des prestataires plus réactifs ou de remplacer un fournisseur qui a fait faillite ou s’est fait absorber par un autre qui a moins bonne réputation.
Sur le papier, le processus paraît simple, mais il est facile de tomber dans des pièges. Ceux-ci peuvent être intentionnels de la part du prestataire ou relever de la simple négligence ou incompétence. Dans les deux cas, le fait de faire appel au prestataire conduit l’entreprise dans une spirale qui n’a rien de vertueuse, bien au contraire. Les points d’attention en amont de la sélection du prestataire sont particulièrement importants pour limiter les risques.
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Philippe Rosé
Docteur en sciences économiques et auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur le management des systèmes d’information, Philippe Rosé est rédacteur en chef des publications Best Practices.