Cloud : comment s’y retrouver dans le maquis des offres
Dans son ouvrage « Le paradoxe du choix », le psychologue américain Barry Schwartz explique que « l’abondance de choix n’est plus libérateur, elle est paralysante. Augmenter le nombre de possibilités n’accroît pas nécessairement la liberté de choix. » Il est un des domaines où cette abondance de choix s’exprime : le cloud.
La prolifération des offres d’applications et de services en mode cloud a un effet pervers dans l’esprit des métiers, des directions générales, mais aussi des DSI : la simplicité inhérente au cloud laisse penser que tout devient facile ! Ce n’est évidemment pas le cas... D’une part, parce que le cloud n’apporte pas une réponse unique à tous les besoins des DSI et des métiers : tout dépend des cas d’usages, qui sont, par définition, très divers, surtout si l’on intègre une dimension temporelle et prospective. D’autre part, parce que les différentes formes de cloud (privé, public ou hybride) compliquent la donne, en fonction des exigences de sécurité et d’engagement de services.
Ainsi, les apparences sont trompeuses : ce qui peut paraître comme une approche simple (gérer des données dans les nuages) se révèle en réalité très complexe, dès lors qu’il faut choisir entre les bons fournisseurs, les bonnes configurations et, surtout, intégrer le tout.
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Dominique Herbert
Consultant en systèmes d’information depuis plus de vingt ans, Dominique Herbert collabore à Best Practices sur les thématiques de gouvernance, d’organisation de la DSI et de stratégie SI.