Clubs

Un de nos confrères consacre l’un de ses articles aux différentes manières de « tirer parti des clubs professionnels ». En ces temps difficiles, c’est effectivement une question cruciale.

Et des clubs de DSI, il en existe beaucoup, qu’ils soient à vocation nationale (comme le Cigref ou l’ANDSI), régionale (comme l’Adira, le Cri’Ouest, le GUN...) ou catégorielle (par exemple les DSI du secteur pharmaceutique ou de l’agroalimentaire...). S’est ajoutée, depuis quelques années, la mode des réseaux sociaux professionnels, avec plus ou moins de succès. On trouve ainsi sur des réseaux sociaux comme LinkedIn, de nombreux forums et groupes de discussion dédiés aux DSI, dont celui de Best Practices Systèmes d'Information. La période actuelle, marquée par un turnover des DSI plus élevé (et plus brutal) que par le passé, rend ce type d’organisations communautaires encore plus utiles pour au moins trois raisons. D’abord, pour montrer que le DSI n’est pas le seul à affronter des difficultés dans son entreprise. Un club permet de partager les solutions pour gérer ces situations difficiles. Ensuite, l’effet de réseau, dont tous les spécialistes du recrutement affirment que c’est la clé pour retrouver rapidement un poste, s’exprime à plein dans des structures associatives. Enfin, la puissance des clubs de DSI rejaillit, et rejaillira de plus en plus, sur la perception du métier, de sa valeur et se ses composantes stratégiques dans les entreprises et de la part des directions générales. Les DRH (avec l’ANDCP) et les directeurs financiers (avec la DFCG) ont bien su jouer cette carte...